Comme dans la plupart des domaines d’activité, celui du bâtiment utilise de plus en plus les nouveaux outils numériques pour les nombreux avantages qu’ils procurent.Les possibilités offertes permettent de révolutionner les pratiques, mais il est également important de bien prendre en considération le risque auquel cela expose, qui est trop souvent méconnu ou sous-estimé.
La transformation du secteur du bâtiment
Avec les nouveaux outils comme la maquette digitale, les dispositifs collaboratifs en ligne, les logiciels de planification ou de gestion, tous interconnectés, le secteur du bâtiment vit une vraie révolution :
- l’ensemble des différents processus métier peuvent être optimisés ;
- la majorité des acteurs de ce domaine se mettent doucement à en entrevoir toutes les possibilités.
Les grandes entreprises ont déjà presque toutes franchi le pas du tout numérique, mais chez les plus petites structures, l’engouement est moins général. Certains dirigeants de PME ne sont pas encore familiarisés avec toutes ces nouvelles technologies.
Toutefois, la plupart d’entre eux ont d’ores et déjà commencé à les adopter. De plus, le gouvernement encourage cette évolution avec le PTNB, Plan de Transition Numérique du Bâtiment, et de nombreuses formations sont disponibles. De nos jours, un chantier nécessite donc l’utilisation d’une quantité importante d’informations qu’il est essentiel de protéger, car on n’est jamais à l’abri d’une perte ou d’une fuite de données.
Les risques liés au numérique et les moyens de protection
Avec le BIM dans le bâtiment, les procédés de partage d’information et de travail collaboratif, et l’ensemble des autres outils interconnectés, une multitude de données confidentielles circulent sur les réseaux lors des chantiers ou de la conception des projets.
Il est important de garder à l’esprit qu’il faut prendre les précautions nécessaires pour sécuriser tout ce flux.
Cependant, nul n’est à l’abri d’un piratage, de la perte ou de la destruction de certains supports. Les conséquences de tels événements peuvent s’avérer très fâcheuses.
Un nombre grandissant de professionnels du secteur décide de souscrire une assurance pour se couvrir des risques encourus, car ils sont multiples. Les exemples de vol d’informations avec rançon, d’usurpation d’identité ou de prise de contrôle à distance de système sont de plus en plus courants. Il est donc capital de se prémunir
Il faut choisir un contrat qui couvre la perte de données, de temps et forcément d’argent due à un piratage, une panne ou un accident.